Bambou et au-Delà: la Restauration de la Forêt au Cameroun Paysages

La Restauration de l'Initiative (TRI) du projet au Cameroun attaquer à la dégradation des écosystèmes dans un large éventail de paysages à travers le magnifique de la biodiversité côtières du pays. La restauration, l'entretien et la subsistance de la dégradation de la zone Soudano-Sahélienne de la Savane de la Waza Paysage, en lisière de forêt et des agro-écosystèmes à Mbalmayo, et les vastes écosystèmes de mangroves dans la Douala-Edéa s'étendant sur plus de 400 000 hectares, est essentiel pour la conservation de l'équilibre écologique et une symbiose entre la terre et ses habitants. Toutefois, ces dynamiques des écosystèmes du Cameroun ont subi des dégradations suite à de nombreuses menaces différentes, comme un manque de gouvernance, les nuisibles, les pratiques agricoles, l'urbanisation rapide, l'exploitation et l'utilisation des terres. TRI travaillé à atténuer les impacts négatifs de ces défis par le biais de multiples efforts de restauration et de stratégies, impliquant essentiellement l'introduction des autochtones espèces de bambou. 

Un Trésor National

TRI du projet au Cameroun visant à restaurer des écosystèmes dégradés par le développement d'une industrie locale des Produits Forestiers Non Ligneux (Pfnl), y compris le bambou. Le bambou, une fois considéré comme une valeur de la ressource, est maintenant de retrouver son importance en raison de ses avantages écologiques et économiques. Autochtones au Cameroun, le bambou pousse rapidement dans les sols, stabilise la terre meuble, et empêche l'érosion. Il peut également être récoltées pour les matériaux de construction, des meubles, de la nourriture et de carburant, offrant une alternative de flux de revenu qui réduit la pression sur les forêts naturelles. La découverte de l'écologique, de l'utilité de cette ressource abondante présenté les habitants du Cameroun avec les moyens de soulager la pression sur surexploitées écosystèmes et progressivement virer de structurellement enracinés terres de mauvaise utilisation.   

Des Approches novatrices et des Jalons

Le TRI du projet au Cameroun a fait de remarquables progrès dans la restauration des terres dégradées et de soutenir les communautés locales. En juin 2024, 825 hectares de terres ont été intentée en vertu de la restauration et de 17,571 hectares de terres ont été intentée en vertu de l'amélioration de la gestion – explique en grande partie par la mise en place d'une florissante locale des produits forestiers à l'industrie, l'exercice de l'utilitaire de bambou ainsi que bénéficiant d'durable de la production de charbon de bois, aux côtés de nouveaux et l'amélioration de l'agroforesterie stratégies. Ces efforts de restauration ont considérablement amélioré la résilience écologique de la région, en fournissant de santé des habitats pour les espèces indigènes et la stabilisation des sols afin de prévenir l'érosion.

L'engagement de la communauté a été une pierre angulaire de la réussite du projet. Le projet a touché la vie de 5,009 bénéficiaires directs de juin 2024, à travers des activités telles que la formation sur les pratiques de restauration, des plants d'approvisionnement, la création de plantations, de la chaîne de valeur du développement, et du matériel, de la technique et de soutien financier pour la poursuite des efforts de restauration. Par l'autonomisation des communautés locales avec les connaissances et les ressources nécessaires à la gestion durable de leurs paysages, le projet a favorisé un sentiment de responsabilité envers l'environnement.

La production de plus de 600 000 plants à travers douze pépinières, dont plus de 400 000 produits forestiers non ligneux, de 160 000 en bambou, et 57 000 jeunes palétuviers, ont joué un rôle déterminant dans l'établissement et la gestion de bambou et des produits forestiers à des plantations. Ces plantations ne fournissent pas seulement des cultures de l'ombre et de se diversifier de la ferme de la biodiversité, mais aussi de proposer d'autres sources de revenus pour les agriculteurs locaux. Cette diversification amélioré les moyens de subsistance de nombreux membres de la communauté, de réduire leur dépendance traditionnelle des ressources forestières et de contribuer à la stabilité économique.

En plus des avantages écologiques et économiques, le projet a également fait des progrès dans la politique de soutien et de développement. Le Ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF) a été pris en charge dans l'élaboration et la mise en place d'une plate-forme d'échange électronique pour faciliter les transactions entre les acheteurs et les fournisseurs de bambou et de PFNL. Cette plate-forme a également sida dans la collecte, le stockage, de traitement et de commercialisation de produits de restauration. De plus, un manuel sur les RPF de bonnes pratiques au Cameroun a été élaborée en collaboration avec le Ministère de l'Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement Durable (MINEPDED).

Orientations futures pour les Forêts du Cameroun

La cohérence et la détermination des communautés locales, couplé avec les nouvelles approches de TRI, continuer à conduire une utilisation durable des terres. Par l'intégration de bambou et d'autres Pfnl, le projet n'améliore pas seulement la résilience écologique des écosystèmes locaux, mais aussi fournit des moyens de subsistance durables des occasions pour les locaux. À l'avenir, le TRI vise à poursuivre l'intensification de FLR efforts, en misant sur de nouveaux fonds pour soutenir et étendre les activités du projet. Une Expression d'Intérêt a été soumis, et un Projet de Formulaire d'Identification (PPN) a été élaboré pour les FEM-8 ÉTOILES les Allocations Pays sur le Changement Climatique, la Biodiversité et la Dégradation des Terres. Enfin, le Cameroun a présenté une nouvelle proposition de projet dans le cadre du FEM-8 de Restauration de l'Écosystème Programme Intégré pour continuer avec l'impact de TRI et de soutenir les efforts de restauration à l'intérieur du pays. 

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